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Rien de plus q'un mec ordinaire. Autodidacte qui peint, dessine, prend des photos, fait un peu de musique, écrit etc... Tout ce qui touche au créatif a du goût, alors j'y trempe mes doigts. Bref, je suis un curieux gourmand Qui roule en Moto Guzzi ! Me joindre : mimi.gau@laposte.net

lundi 29 septembre 2014

SAUVAGE 2014




Sauvage 27-28 Septembre 2014.



Une rencontre moto organisée par Christian et la Douce, quelque chose entre la brocante, la fête foraine et une expo. Du lourd et beaucoup de travail pour toute l’équipe assurant la mise en place, la cuisine, les activités et la surveillance. Ben oui, je commence par là parce qu’il faut souligner que rien ne se fait sans toutes ces personnes qui donnent de leur temps et leur physique pour que les visiteurs et invités soient au mieux.







Ça c’est fait !

Samedi 27 septembre en milieu d’après midi nous débarquons sur les lieux flambés d’un soleil estival. Quelques poignées de mains serrées, quelques bons mots puis le montage du barnum, FOKÇA-AIDELAGUEULE ! Non mais sans blague « Les Amis Guzzistes » c’est un club national alors…





Après le labeur, une petite canette puis l’apéro en regardant et saluant les nouveaux arrivants.





 Parfois curieux, et ce n’est pas forcement un défaut, j’espionne ce que les voyageurs apportent dans leur bagage. Ok, ce n’est pas évident mais sachez mesdames et messieurs que cette Yamaha que les reflets du paysage dans la glace latérale mélangent, est une 350 Morena TZ équipée d’une mécanique de 1980 de 80 CV pour 110 kg.



Peut-être que pour certains amateur de fusées modernes, ces mensurations techniques paraissent risibles. Mais cette Morena TZ ne date pas du dernier salon et à l’époque où cette machine traçait sur le bitume des circuits, c’était plus qu’honorable et impressionnant.

De gauche à droite, Monsieur Eric Saul et Monsieur Bernard fau qui n’est autre que le propriétaire de la Morena TZ 350. 



Il y a des rencontres qui projettent sur l’écran de la mémoire des souvenirs de pages jaunies et de photos aux couleurs un peu passées des magazines moto qu’on attendait toutes les semaines devant le kiosque.
Nous étions de jeune motards et si nous avions nos idoles du continental, nous étions aussi piqués par le moindre chrono de nos pilotes tricolores qui pour la plupart, n’avaient pas les moyens des grosses vedettes et se bataillaient courageusement avec la foi et la hargne pour asticoter de très près les stars et poser leur bottes sur le podium. Nous lecteurs ou spectateurs, sur le papier nous partagions leurs joie et leur déboire.
Alors aujourd’hui, j’étais un peu plus jeune car jusqu’à ce jour de septembre 2014, je n’avais jamais été aussi près d’eux et je n’avais jamais échangé de mots avec eux. Un beau petit bonus n’est-il pas ?

Petit plaisir en supplément, l’arrivée d’EL MIG.



Un été tardif, mais les jours commencent sérieusement à raccourcir et il est temps ; après un dîner convivial de fermer les yeux.







Roro c’est le président, notre président (Hahaha, il va encore m’en vouloir) N’empêche qu’il pense à tout, le réchaud, le café et la brioche pour nous assurer un bon petit déjeuner.



Ce dimanche c’est le grand jour. Les stands découvrent leurs merveilles, les motards débarquent avec de belles machines, les attractions se préparent et les boutiques étalent ce qu’elles ont à vendre.














Et les belles machines des visiteurs.





Les amis arrivent, apéros et merguez-frites.






N’allez pas croire que de tenir la boutique est de tout repos, qu’est-ce qu’on en bave !






Toute bonne chose à une fin et en fin d’après midi il faut plier et rentrer dans nos foyers respectifs. (Pour la petite histoire, le président n’a pas de chauffeur, alors c’est lui qui conduit et moi qui me fait conduire, héhéhéhé !).






Voilà, il nous reste à renouveler nos remerciements à l’organisation de ce week-end ensoleillé et de rêver à la prochaine.

mardi 16 septembre 2014

ST PIERREVILLE 2014




SAINT PIERREVILLE 2014 

Jeudi 11 septembre.

Le temps est avec nous, l’été fut tardif, mais en septembre il est là.
Je ne sais pas ce qu’elles ont les Calif cette année, mais elles ont comme un petit côté rebelle. L’attelage de Roro refuse de démarrer, c’est la grève sur le tard sans préavis ni cahier de revendication. Le boss négocie relais et fusibles, rien à faire l’attelage reste au piquet.
Roro change de monture pour une solo, mais la belle rouge refuse à son tour de faire vibrer ses grosses gamelles. Nous n’avons pas le temps d’ouvrir d’autres négociations, le boss fait appel au booster. Solution brutale je le reconnais, mais cela vaut toujours mieux que la compagnie de CRS.
Avec une heure de retard sur le départ prévu, nous prenons la route vers le sud afin de cette nuit faire une étape à Route 99.



Rien à dire, bon accueil, bon apéro, bonne bouffe, bon dodo, bref une bonne escale.

Le lendemain, c’est cap sur Saint Pierreville en Ardèche. Le rendez-vous de Septembre ! Une sortie organisée par ARD-TWIN à ne pas manquer. J’en profite une nouvelle fois et me faire certainement le porte parole de beaucoup, pour plus que féliciter celles et ceux qui œuvrent pour nous assurer un excellent week-end.



Un endroit certes perdu, mais cerclé d’un joli cadre naturel.





 Cette année, rien de moins que 180 personnes venues des quatre points cardinaux de l’hexagone y sont attendues.









 Certaines ou certains avec des montures traditionnelles, d’autres nous exposent de belles machines, récentes, anciennes, originales, bricolées ou de modèle plus rares.



















Au menu, il y a les retrouvailles avec celles et ceux avec qui nous roulons et trinquons régulièrement ou d’autres qui s’ajoutent aux nombreuses connaissances et qui ne rechignent pas à vider quelques godets.

Il y a les apéros, une tradition que nul n’aurait l’audace de ne pas noter sur l’ordonnance. Un moment convivial où chacun raconte la dernière anecdote ou une vieille rabâchées depuis des années et croyez qu’il y aurait de quoi remplir quelques tomes qu’ils soient de sa voix ou de celle d’un autre.









Il y a les repas où entre deux coups de fourchette on rigole d’une bonne blague.








Il y a la traditionnelle Paëlla préparée avec soin par le maestro.




Il y les après dîner parfois prolongés jusqu’aux premières cloches de l’Angelus.







Il y a aussi le show, parce que nous avons des vedettes, que dis-je, des stars ! Oui mesdames et messieurs, elles ne foulent pas le tapis rouge de cannes dédaignant les honneurs poudrés et pailletées. Ce sont des artistes, des grands qui ne se produisent que pour les amis loin des flashs sans alcool, loin des oscars sans Wilde, loin des ours sans peluche, loin des Mostra sans Damus et loin des lions sans Fourvière.







Il y a aussi les ballades....







 dont certaines sont à proscrire à cause des chutes de pierres.





Pour Conclure, Saint Pierreville édition 2014, comme les précédentes organisées par ARD-TWIN, fut un bon moment vécu et fut une belle sortie ensoleillée ce qui, cette année ne coulait pas de source mais plutôt des nuages.